Dsk Le Procureur Vance
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LE PROCUREUR VANCE prosecutor Vance lights and shadows of prosecutor Cyrus Vance - lumières et ombres du procureur Cyrus Vance ct© ombres et lumières lights and shadows Mots clés :Vance, cyrus vance,prosecutor vance,procureur Vance, Diallo, nafitassou, nafitassu diallo,dsk,strauss khan, femme de ménage, complot dsk,complot strauss khan, Après le "thème astral" de la femme de chambre, la carte conforme du procureur, à l'appui de ses conclusions d'expertises. Trois mois d'investigations dont les résultats confirment l'interprétation, publiée début juin, selon laquelle Mme Diallo, accusatrice de Strauss Khan cherchait à crédibiliser une histoire en la construisant de toutes pièces. Une différence minime d'appréciation avec une simple affabulatrice qui invente. Il s'agit d'un cas d'espèce de faussaire. Géniale, mais contrefactrice. De ce point de vue la demande de retrait d'accusation du procureur Vance, montre l'étonnante capacité de Mme Diallo a berner les services de police, comme les experts, jusqu'à ce que le Bureau des investigations fasse le constat final de l'impossibilité de prouver les assertions de la victime présumée. Suite à la dénonciation, volontaire, de son propre avocat Me Thompson (condamné par un juge de New York pour faux témoignage à propos de cette affaire à une forte amende). L'affaire reposant exclusivement sur les allégations de Mme Diallo, contredites par des expertises matérielles et médicales, le timing des circonstances entre 12:06 et 12:26 exactement, et ses trois versions différentes, et contradictoires, de relation des faits. Lors de la première appréciation de cette affaire, examinée sous l'angle du complot, Astroemail observait que les faits permettaient de déduire la recherche d'un avantage matériel rapportant un intérêt financièrement profitable. Le développement procédural de cette affaire, à la demande de Mme Diallo. Sa demande judiciaire civile du 8 août 2011, dans une action en réparation de préjudice notamment. Pour une somme indéterminée mais "excédant les limites habituelles des basses juridictions et excédant le minimum nécessaire..." confirme cette analyse. "Complaint and demand for jury trial" "damages in a sum which exceeds the juridictional limits of all lower courts and exceeds the minimum necessary for diversity jurisdiction in all Federal courts..." C in Prayer for relief. Une demande habilement rédigée par son avocat sans afficher d'avance un tarif en millions de $. Quand aux zones d'ombres, manifestations ou non de complot dans cette affaire, rien de ce qui était connu, comme informations, dans le "bruit" généré par les médias ne permettait de prendre position. De tous les complots invoqués, seul celui de Mme Diallo, que personne n'imaginait, surprit tout le monde et validait la suspiscion. La demande de retrait d'instance du procureur Vance apporte, là aussi, des révélations passionnantes, exposées en anglais dans le détail de ses motivations, expertises à l'appui. L'analyse Par gauthier de bruges, Passage de l'Étoile Première fois, dans cette rocambolesque histoire, que le public accède aux pièces du dossier de l'affaire Strauss Khan. Un rare exemple de transparence. En l'espèce les 25 pages de la demande d'abandon des poursuites, motivées par les conclusions du procureur de New York Cyrus Vance le 22 août (dsk motion to dismiss). La presse francophone, considérant ses lecteurs comme des débiles mentaux, se dispensa de traduire cette pièce de procédure. Se contentant de considérations superficielles dans l'appréciation de son importance. Ce qui explique, vraisemblablement, les réactions d'incompréhension de personnes ignorant les motifs exacts figurant dans la demande de Cyrus Vance. Lesquels ne sont ni techniques, ni procéduraux, mais touchent à l'essentiel de l'affaire, à savoir la vérité des faits et des comportements. L'attitude de la presse est vraisemblablement délibérée, afin d'alimenter les fantasmes des uns, à savoir les féministes. L'ignorance des autres, notamment les noirs et les communautés africaines. Autant pour des visées électoralistes partisanes, l'Agence France Presse étant contrôlée par le pouvoir Ump du président Sarkozy en France lequel nomme son pdg. Que pour attiser les rancoeurs dans l'opinion publique, et susciter des actes de vengeance incontrôlées. Éclairer les lecteurs en assurant une meilleure connaissance de ce texte, traductions à l'appui de ses explications s'avère utile. Ayant publié, avant la déclaration du procureur américain le 1er juillet 2011, une analyse relative à la personnalité de l'accusatrice, Astroemail trouve, dans le mémoire de Cyrus Vance, la confirmation écrite, motivée, preuves à l'appui de l'exactitude du profil décrit. Second motif de débriffer la prévision faite et publiée avant l'événement. Sur ces bases voici ce que l'on peut en dire. L'occasion étant donnée, regardons la carte orbitale de Cyrus Vance. (correctif du 1er août 2015) Date communiquée par Wikipédia Des paragraphes antérieurieurement publiés (2011) il était écrit en termes d'appréciation de personnalité : - qualités de minutie et de précision - préjugés, attaches aux manifestations extérieures d'honorabilité, assortis de capacités de perceptions, d'impressions, de sentiments non formulés, et d'attitudes de présomptions. Les contradictions intérieures de cet homme lui confèrent une approche sensitive des réalités, susceptibles d'orienter ses appréciations superficielles dans des impasses. Il possède la persévérance nécessaire, ainsi que l'aptitude à penser de façon réversible, pour admettre ses erreurs, et inspecter à partir de ses impairs. Lorsque débuta l'affaire du Sofitel de New York, les services du procureur Vance, ainsi que le procureur lui même, gobèrent sans sourciller les déclarations de Mme Diallo. Confortées, à première vue, par les éléments matériels de l'apparence des faits. Les caractéristiques liées à la nationalité du présumé agresseur, notamment le refus de la France d'extrader ses ressortissants, contraignirent le procureur à une action éclair d'appréhension, d'incarcération, et d'obtention du grand jury, s'agissant d'une affaire pénale, de mise en accusation de Strauss Khan. Entre le 14 et le 18 mai la situation de DSK fut pliée. Contraint, sur pressions insistantes du FMI d'abandonner ses responsabilités de régulateur de la finance mondiale, Dsk démissionna, sur incitations, de son poste le 19. Cette action précipitée de son employeur, comme de Cyrus Vance, s'avéra dommageable au regard de ses conséquences sur la finance mondiale, à raison de la vacance du poste de responsable du FMI jusqu'à fin juillet, date de son remplacement par Mme Lagarde. La Crise s'ébroue quotidiennement sur les marchés, se moquant des gesticulations judiciaires à Manhattan. Contraint professionnellement de revenir à New York, après ses déplacements, il était possible de prendre à l'encontre de Strauss Khan toutes les assurances utiles de représentation, sans ajouter la démonstration excessive des moyens roccambolesques déployés pour s'assurer de sa personne. Le procureur se justifia de ses précautions excessives, au motif qu'il agissait dans les intérêts de la population de l'Etat de New York contre un présumé criminel. Un argument formel et de circonstance. - Dès le début de l'affaire, Cyrus Vance Jr se montre sûr de lui. Il défend bec et ongles la femme de chambre du Sofitel qui accuse de viol Dominique Strauss-Kahn, alors encore directeur général du FMI. Le procureur est certain d'avoir un dossier "béton", à tel point qu'il insiste pour que DSK soit maintenu en détention.Haro sur Cyrus Vance LeJDD 03/06/2011 Strauss Khan, obscur politicien de Sarcelles, devint ainsi soudainement une célébrité mondiale détestable, dans la catégorie prédateurs sexuels, de Pékin à Tombouctou, et d'Ushuaia à la Terre Adelie, pour les contraintes ordonnées afin d'assurer sa luxueuse captivité américaine : gardes du corps, bracelet électronique, appartement. Commençait alors la seconde partie de cette affaire, considérablement opacifiée par les pantomimes mensongères de l'avocat de Mme Diallo, complaisamment amplifiées par la presse francophone, agissant inexplicablement comme une entreprise systématique de désinformation. On ignorerait tous des éléments vrais de ce dossier d'instruction Diallo c/Dsk, sans les 25 pages rendues publiques le 23 août, par le procureur Vance, à l'appui de sa demande d'abandon des poursuites. La qualité de sa rédaction, la précision de ses arguments, la révélation de faits occultés par Me Kenneth Thompson, ces éléments apportent un nouvel éclairage, sur une affaire à suspense, digne d'un thriller. LUMIÉRES :L'EXPERTISE Le profil de la personnalité de Mme Diallo, publié le 13 juin, se résumait ainsi : " . ambition matérielle méthodiquement murie, construite, élaborée, que l'on cherchera à concrétiser en ayant un unique objectif en tête .ambition personnelle sera menée avec précision, patience,construite, afin de satisfaire le besoin d'éclat de soi, de briller par la réussite, le succès,et la satisfaction de l'argent .capacité à s'imposer une discipline, choisir une méthode, sans faire de sentiment ni états d'âme, un esprit mesquin, un seul but, un seul objectif .aptitude à saisir rapidement les opportunités ainsi qu'à agir sans attendre en saisissant les occasions de passage . possibilité d'avoir conçu et élaboré un plan prémédité, . entrée aux USA en mentant aux autorités américaines" Le procureur Vance relevait dans son enquête les faits et éléments suivants : HISTORY OF THE INVESTIGATIONS historique des enquêtes ou recherches A.initial investigation and indictment receuil des données initiales d'enquête et accusation la plaignante, femme de ménage, au Sofitel rapporta à la sécurité de l'hôtel, et ensuite au NYPD (police) avoir été sexuellement agressée par le défendant dans sa suite. Elle rapporta en premier cet incident à sa supérieure immédiate peu après l'altercation, cette suite (2806) étant au nombre de celles qu'elle avait charge de nettoyer. Cette supérieure avisa sa propre responsable, à qui la plaignante répéta sa plainte. Cette responsable informa la sécurité et la direction de l'hôtel, en même temp que le NYPD. Lesquels officiers et détectives interrogèrent la plaignante et la conduisirent à l'hopital local pour examen médical plus tard dans l'après midi. En substance la plaignante rapporta aux détectives, puis ensuite aux procureurs, qu'à peine entrée dans la suite du défendant pour son activité de nettoyage, il apparu nu dans la chambre, s'approcha d'elle, lui aggripa les seins sans son consentement. Selon la plaignante, le défendant ferma la porte de la suite, la força dans la chambre, la poussa sur le lit, et tenta par la force d'introduire son pénis dans sa bouche, parce que ses lèvres étaient fermées. La plaignante nota ensuite que le défendant la força à aller plus avant dans l'intérieur de la suite en la poussant dans un étroit corridor. Selon elle, il retroussa sa robe d'uniforme de travail, baissa partiellement ses bas, arriva (s'activa) dans ses culottes, et agrippa avec force la partie externe de son vagin. Finalement la plaignante rapporta que le défendant la força physiquement à genoux, insérant avec force son pénis dans sa bouche, lui tenant la tête et éjacula. Cet acte sexuel réalisé à la fin du corridor intérieur de la suite, à proximité de la salle de bains. Selon la plaignante, elle cracha aussitôt le sperme sur la carpette du corridor intérieur, et fit de son mieux pour s'échapper rapidement de la Suite. Le jour de l'incident, et plusieurs jours après, la plaignante fut entendue par les détectives du NYPD, brigade des victimes spéciales, d'autres investigateurs expérimentés et procureurs, y compris des membres de l'Unité des Crimes Sexuels. Il fut rappelé à la plaignante que dans les cas où le témoignage de la victime est déterminant pour prouver le crime, son passé et les circonstances de l'événements seraient examinés, sondés de manière exhaustive. Son entière coopération étant indispensable ainsi que sa crédibilité. A cette étape la plaignante paraissait crédible. Son rapport d'incident plausible, et ce qu'elle répéta à différentes occasions aux détectives des Victimes Spéciales et procureurs, matériellement consistant. Ainsi donc, au regard du profil de personnalité décrit, Mme Diallo réussit au début de l'affaire à élaborer une histoire cohérente, vraisemblable, apparemment "construite". Cyrus Vance expose ensuite les raisons pour lesquelles il n'avait aucun élément susceptible de contredire les allégations de Mme Diallo - entre le 14 et le 18 mai mes services ne relevèrent aucun drapeau rouge (red flags dans le texte) dans le passé de Mme Diallo. Employée sans problème depuis 3 ans au Sofitel. Aucun casier judiciaire ou passé de délinquante. Même en dépit du fait de son admission frauduleuse sur le territoire américain, résultant de l'usage d'un visa, et de papiers, délivrés à une autre personne qu'elle (She noted that she had originally entered the United States using a visa and papers that had been issued to a different person, she readily admitted this fact). - il apparaissait évident que la plaignante n'avait pas de connaissance préalable de la présence du défendant à l'hôtel, susceptible d'une préméditation de rencontre, et qu'elle entra dans la chambre la croyant vide de tout occupant. - l'autre évidence était l'absence de consentement sexuel entre eux. Ainsi qu'indiqué la plaignante alerta rapidement deux de ses supérieures. Lesquelles furent entendues par les enquêteurs dans les 48 heures suivantes, qui rapportèrent qu'elle apparassait perturbée. Un résultat préliminaire de test ADN établissait que plusieurs taches situées sur le haut de la robe d'uniforme de la plaignante contenait du sperme en provenance de l'ADN du défendant. Toutefois ces premières explorations laissaient inexpliqué l'usage de la violence lors de la rencontre entre la plaignante et le défendant. Il établissait uniquement un acte sexuel. Précocément l'investigation indiquait une brève rencontre, suggérant un acte sexuel non consenti. L'enquête indiquait que le défendant quitta promptement l'hôtel, mais on ignorait pour quelle destination. On apprit plus tard qu'il était enregistré sur un vol Air France à JFK à destination de l'Europe, et qu'il était français. Et qu'en conséquence on ne pouvait envisager son extradition pour des poursuites criminelles aux Etats Unis. Après toutes ces auditions, les détectives du NYPD et les procureurs, concluaient tous à la crédibilité de la plaignante et les charges criminelles justifiées. C'est dans ces conditions que le cas fut déféré au grand jury et le défendant formellement accusé de ces crimes. B. Subsequent investigation Enquête ultérieure De la date de mise en accusation à ce jour, l'Avocat du District continua son enquête sur le défendant, la plaignante, et les faits de cette affaire. Incluant les résultats de leurs examens physiques, et tests scientifiques obtenus de leurs vêtements. Des officiers de police, des témoins civils, le personnel médical, les scientifiques auteurs des tests, et des experts médicaux furent entendus. Les documents, les enregistrements, les communications électroniques, les relevés bancaires, la video surveillance du Sofitel, les enregistrements médicaux, d'affaires, ainsi que les données disponibles dans les agences gouvernementales furent examinés. Pour la crédibilité du témoignage de la victime, la plaignante fut entendue de manière répétée du 14 mai au 7 juin, à propos des détails de l'incident du Sofitel, son histoire personnelle, et les circonstances. Le 7 juin, l'avocat de la plaignante alerta les procureurs qu'elle mentait en narrant son histoire personnelle, incluant son récit allégué d'un viol antérieur à l'affaire du 14 mai 2011. (On June 7, 2011, the complainant's attorney alerted prosecutors that the complainant had not been thruthful in recounting her personnal history, inclunding her account of an alleged prior rape). Lors des auditions supplémentaires des 8,9 et 28 juin 2011, la plaignante admit elle même (reconnaissait) avoir menti aux procureurs sur divers aspects de son histoire personnelle ainsi que sur les circonstances de l'affaire en cours. A l'audition du 28 juin, en présence de son juriste, trois procureurs et un enquêteur, la plaignante reconnut aussi avoir menti aux procureurs à propos de son activité dans la suite immédiate des événements après l'incident objet de poursuites, elle mentit aussi au grand jury sur ce point important. gauthier de bruges 09/11 copyright Astroemail + correctif de changement de carte 01/08/2015 |
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