
SARKOZY NICOLAS SARKOZY
les politiciens s'encanaiillent et la médiocrité des bas fonds s'étale sur la République
La vermine politique - comptes de campagne 2012 :quand un délinquant vit dans l'impunité pénale - affaires judiciaires : quand un avocat pigeonne la Cour de Cassation - affaires financières : quand un non lieu gèle l'innocence d'un ex président - horoscope en astrologie de l'imaginaire : culbute à l'élection présidentielle de 2012 RETOUR A LA MOYENNE La Cinquième République connut deux grands présidents, De Gaulle et Mitterrand, un président bâtisseur volontariste au mandat abrégé par la mort, Georges Pompidou. Un président décalé et de milieu de gamme, Valéry Giscard d'Estaing. Puis un président magouilleur, empétré dans des affaires financières, Jacques Chirac, premier à être pénalement condamné après son mandat. Chaque élection à la tête de l'Etat correspond à une trajectoire stochastique, comme à la roulette du casino : un tirage hasardeux dans les urnes électorales délimité par un début, et par une fin, datés.
Depuis 1962, les premières élections présidentielles de la Ve République s'écartaient de la norme. Un phénomène attribuable au coefficient de personnalité, et de stature, des candidats à la magistrature de l'Etat. On observe maintenant, en fonction des séquences aléatoires, la manifestation du phénomène connu de l'ergodicité : une reversion. Une application des lois du hasard. Le temps élimine les écarts. Après une séquence de grands présidents, succède une séquence de médiocres. Dont les mandats seront moins performants que ceux qu'ils remplaceront. Sarkozy débuta la séquence des mauvais, et des incapables. En fonction de l'écart en qualité observé de 1962 à 2002, 40 ans, la séquence des inférieurs, et des insatisfaisants, sera plus marquée. Et cela, quelque soient les manipulations des politiques, pour changer le numéro de série de la République. NB : la décision, de la Chambre d'Instruction de la Cour d'Appel de Paris, rendue publique le 24/09/2014 de stopper l'enquête par écoute judiciaire est sans effet sur la procédure pour Sarkozy. Puisque d'une part les écoutes n'apportent rien de plus que ce qui désormais acté, les poursuivre devient une mesure de police inutile.La Cour y a mis fin. D'autre part la Cour d'Appel a ordonné la poursuite de l'instruction. Sarkozy reste mis en examen, sans pouvoir contester les écoutes, ce qui constituait sa défense principale. En effet, la décision de la Cour est sans recours possible.La décision de stopper les écoutes téléphoniques, sans que la Chambre de l'instruction, se prononce sur leur légalité, constitue un revers pour Sarkozy en le privant d'un moyen de défense. Cette décision, dans l'affaire de corruption d'un magistrat de la Cour de Cassation, n'affecte pas les autres écoutes judiciaires dans les autres dossiers d'instruction.Sarkozy peut-on être mis sur écoute, par d'autre juges, à tout moment, dans les 5 autres affaires dans lesquelles il est inquiété. gdb10/2014 |
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